Les trois grands casinotiers français, Partouche, Accor et Barrière, sont prêts à se lancer dans l’aventure du Web. Partouche s’y est même risqué : « Nous avons créé un e-casino, qui n’a fonctionné qu’un mois en France (arrêté à la demande du ministère de l’Intérieur, Ndlr) raconte Patrick Partouche, directeur général. La Française des Jeux est en ligne, pourquoi pas nous ? Il est temps d’avoir un vrai débat, de créer une charte. Car en attendant, les sites malhonnêtes sont légion et décrédibilisent la profession. » Le groupe Barrière, lui, préfère attendre : « Nous ouvrirons un site dès que la loi l’autorisera, explique Olivier Ponthieu, directeur adjoint. En aucun cas, nous ne détournerons la loi. » Un point de vue partagé par Accor Casinos.
lobbying L’Observatoire des casinos en ligne n’est pas un organisme officiel.
Créé par Ludus Online, éditeur de sites de divertissement pour King Solomon Casino (groupe anglais et leader mondial du marché), l’OCL souhaite créer un label de qualité pour les e-casinos.
Et faire avancer le débat afin que que les casinos en ligne soient autorisés en France.
(source : 20minutes.fr)