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 France :   jeux de hasard et d’argent , impôt volontaire, lutte contre la  pauvreté et le sous développement, taxe Tobin… TOBIN  OR NOT TOBIN ? : GAMBLING ! Pour  une loterie mondiale caritative à 1 milliard d’euros (Première  Partie) 1  milliard d’euros, ou son équivalent en dollar, yuan, yen, roupie,  rouble, real, krona…(1) tel pourrait être le pactole d’une  loterie mondiale destinée à éradiquer la pauvreté. Assurément   cela attirera des centaines de millions de joueurs, voire beaucoup  plus. Alors qu’on reparle de la Taxe Tobin - un impôt  obligatoire  négatif - l’installation d’une loterie mondiale caritative  - un  impôt volontaire positif - pourrait changer la face du monde en  matière de lutte contre le sous-développement. Par ------ 
  
     Tel un  	marronnier, la taxe Tobin est revenue sur le devant de la scène.  	Cette idée - émise en 1972 (2) par un Nobel d’Economie ( James  	Tobin,1918-2002), popularisée par Le Monde Diplomatique en 1997,  	kidnappée ensuite par les altermondialistes d’Attac en 1998 - n’a  	jamais fait recette. Certes le fait que la France soit porteuse du  	projet et que le Président de la République s’engage  	personnellement dans ce dossier doit être salué. Néanmoins ce  	projet de taxe sur les transactions financières risque d’accoucher  	d’une souris. De nombreux pays (notamment la Grande Bretagne)  	affichent leur hostilité à ce nouvel « impôt de bourse »  	mondialisé. Le soutien de l’Allemagne apparait pour le moins  	« mesuré » (3). Paris a beau vouloir donner « un  	grand coup d’accélérateur » (4) pour booster le  	calendrier, cela relève pour partie de l’incantation tant le  	principe d’une « taxe Tobin nationale » apparaît  	« utopique »  à de nombreux observateurs  	avertis (5). Par ailleurs la Commission Européenne, qui a  	présenté le 28 septembre dernier une proposition de directive de  	taxe sur les transactions financières (TTF), entend rester zen sur  	le calendrier d’un dossier complexe. 
  
     Curieusement  	cet impôt apparaît désormais davantage comme une sanction visant  	à punir les marchés irrationnels et à freiner l’ardeur des  	spéculateurs qui « jouent » avec la réglementation  	financière, il est vrai d’un laxisme abyssal. Alors qu’au  	départ il affichait une volonté politique forte de récolter des  	fonds pour lutter contre la misère, la malnutrition… En outre  	« cette punitive taxe Tobin » n’est sans doute pas  	sans arrière-pensée électorale et peut être perçus comme un  	symptôme de la « taxopathologie aiguë des candidats à la  	présidentielle » qui, comme le précise Edouart Tétreau (HEC  	, Médiafin), «  ont décidé de taxer tout ce qui bouge »  	( 6) 
  
     Bien sûr  	cette taxe ( on parle de 0,1% sur les actions et obligations et de  	0,001% sur les produits dérivés) va rapporter de l’argent mais  	beaucoup moins qu’attendu. 55 milliards d’euros par an selon  	José Manuel Barroso. Pas de quoi changer la face de « la  	misère monde ». Par ailleurs elle ne sera pas sans   	conséquences. Si «  les risques de délocalisation reste  	difficile à mesurer » (7) les principales places financières  	mondiales (Londres, Shangai, Shenzhen, Hong Kong, Tokyo, Sydney (8)  	y échapperont et les spéculateurs de haut vol pourront toujours  	s’expatrier. Pour la place de Paris le doublement des frais de  	transaction entrainera « une moindre liquidité  des titres  	français au profit des titres internationaux ».(9) Attention  	à l’effet boomerang. Olivier Guéant et Matthieu Schlesinger (  	Université Paris Diderot & Sciences Po) rappellent dans le  	quotidien Les Echos un précèdent : «  la Suède a  	adopté un prélèvement de ce type en I98O qui s’est traduit par  	une chute très importante des transactions financières, presque  	totales pour les produits dérivés, au profit de la City ».  	Et nos deux chercheurs de préciser : «  Face à ce  	brillant résultat la social démocratie suédoise a fait machine  	arrière » (10) 
  
     Il faut  	dire que l’injonction apparaît pour le moins paradoxale. On veut  	réduire une activité (la spéculation) mais dans le même temps la  	taxer, c’est-à-dire en ponctionner une partie pour l’aide aux  	plus démunis. La logique aurait voulue le contraire :  	favoriser les transactions financières afin que cette TVA sociale  	mondialisée rapporte le plus possible pour aider les pauvres. Va  	comprendre Charles ! Sans  	doute une nouvelle démonstration que le pouvoir court souvent  	plusieurs lièvres à la fois, dans une vision systémique qui nuit  	à son efficacité. Sans doute une nouvelle preuve que ce même  	pouvoir cherche toujours à réformer le système à la marge tout  	en se donnant bonne conscience, procède par arbitrage pour défendre  	l’intérêt général, tout en oubliant que ces trop fameux  	arbitrages politiques finissent souvent par aboutir à des  	injonctions paradoxales, pour ne pas dire antinomiques. 
  
     Autre  	contradiction : le timing.  	Cette taxe arrive au plus mauvais moment. En pleine euphorie  	boursière, en pleine « glorieuse » économique, on  	aurait presque pu comprendre cet effort de solidarité consistant à  	fiscaliser encore davantage ceux qui « travaillent »  	avec l’argent des autres, « font de l’argent » avec  	de simples clics, programmes des robots pour effectuer du trading à  	haute fréquence (THF) (11). Mais de nombreuses bourses sont au plus  	bas (notamment le CAC 40) et les actionnaires - notamment les petits  	porteurs – trinquent depuis des mois. Grosses fortunes et  	spéculateurs ne sont pas épargnés et certains ont subi des pertes  	colossales, même si bien évidemment d’autres continuent de  	« faire de l’argent », profitant des écarts de cours  	monstrueux qui se produisent lors de krachs boursiers. Néanmoins,  	dans un contexte global de crise et de récession de nombreux  	observateurs voient d’un très mauvais œil l’instauration d’un  	nouvel impôt de bourse, qui viendrait s’ajouter à ceux déjà  	existants. 
  
     Face à  	autant d’adversité il n’est pas étonnant que la trop fameuse  	taxe sur les transactions financières réserve « quelques  	surprises » (12) et que Paris ait décidé d’officialiser  	récemment sa taxe « a minima » (13) La France vise  	désormais 1,1 milliard d’euros de recettes annuelles. Même si   	« le clan des pro-taxe semble s’élargir » au moins au  	niveau européen (14), la somme totale récoltée dans le meilleur  	des cas (50 milliards d’euros) ne sera jamais à la hauteur des  	enjeux que représente une « lutte fanatique » pour en  	finir avec la misère mondiale, si tant est que ce pactole y soit  	consacré.  Comme le précise Anne Chryvialle dans le Figaro :  	«  L’Etat pourrait être tenter de l’utiliser au  	renflouement des finances publiques. » (15) 
  
     De  	multiples éléments soulignent donc que cette taxe moralisatrice ne  	règlera rien en matière de pauvreté, sera difficile à mettre en  	œuvre et cela pour la simple raison que ses fondamentaux  sont  	erronés. La Taxe nommée « Tobin » (au grand dam de son  	« propriétaire » qui a refusé que l’ultra gauche  	instrumentalise idéologiquement son concept) constitue « un  	impôt obligatoire négatif » qui  sera mal perçu, rapportera  	peu et pèsera sur les échanges économiques et financiers. Seul  	« une arme de construction massive » - un  impôt  	volontaire facultatif à haut rendement » se situant dans une  	autre sphère - peut fournir de manière récurrente les fonds  	babylonniens nécessaires à « la lutte finale contre la  	pauvreté ». Cette autre sphère, c’est l’industrie des  	jeux de hasard et d’argent (gambling). Cette arme, c’est une  	loterie mondiale caritative. 
  
     Les  	populations détestent les impôts et autres taxes mais adorent  	jouer et cela depuis la nuit des temps. C’est curieux mais c’est  	comme ça. Sociologue spécialisé dans le gambling nous observons  	ces pratiques depuis des années sans que notre curiosité  	intellectuelle s’en trouve émoussée. La constance ludique force  	le respect, au-dela de toute morale et de toute rationalité. Face à  	la pusillanimité des gouvernants mondiaux et des organismes  	internationaux à éradiquer la misère, exploitons pour la bonne  	cause cette quête ludique toujours inachevée. Vis à vis de la  	fiscalité, l’impot ludique possède l’énorme avantage  de  	permettre à ceux qui veulent y échapper de le faire facilement. Il  	leur suffit de ne pas jouer. La loterie mondiale aura donc bonne  	presse. Tout le monde y sera favorable, y compris ceux qui n’y  	participeront pas. 
  
     Par  	ailleurs les populations ont depuis des lustres fait preuve  	d’altruisme et de solidarité, montrant souvent le chemin de la  	générosité aux Etats et aux gouvernants. Elles participeront  	massivement et volontairement à cette loterie solidaire pour  	joindre l’utile à l’agréable. Il est même probable que ce jeu  	mondial va créer des millions de nouveaux joueurs, qui seront tout  	heureux d’engager 1 euro, 10 euros…pour éradiquer misère et  	sous développement, tout en espérant gagner le pactole à 1  	milliard ou les milliers de gains intermédiaires. 
  
     Bien  	entendu les loteries nationales et l’ensemble des opérateurs  	ludiques seront sollicités en premier chef pour organiser le  	maillage  – en dur et virtuel – nécessaire à l’installation  	d’une telle loterie. Le click à 1 euro connaitra un succès  	mondial permanent sur le web. Internet va multiplier à l’infini  	la puissance de frappe de cette loterie mondiale dans sa version  	2.O. Certes certaines loteries nationales participent déjà à  	l’aide au développement. La loterie néerlandaise a versé 1,35  	millions d’euros au HCR (Haut commissariat aux réfugiés ) en  	2011 pour un total de 13,8 millions depuis 2002 (16). Mais on ne  	voit pas en fonction de quelle logique ces opérateurs de jeux dans  	le cadre de leur RSE refuseraient de participer, en organisant la  	logistique et l’architecture numérique nécessaire à une telle  	loterie. D’autant que ce jeu international ne phagocyterait en  	rien les différents produits commercialisés par les opérateurs  	ludiques nationaux. 
  
     Bien  	entendu les multiples organismes internationaux ( ONU, Banque  	Mondiale, BIRD, FMI, OCDE, Unesco,OIT, FAO, OMS…) seront  	sollicités pour réunir les décideurs politiques, mettre en place  	les comités d’experts, évaluer les besoins, assurer les  	contrôles et la transparence. La également on peut supposer que  	les « grands de ce monde » dont certains veulent  	instaurer une taxe Tobin, auront à cœur de se réunir pour mettre  	en place politiquement cette loterie mondiale caritative. 
  
     Naturellement,  	comme pour la guerre, l’argent est le nerf d’un tel projet, et  	c’est bien d’une guerre dont il sagit : en finir avec la  	faim, la misère, le problème de l’eau, les drames humanitaires,  	écologiques, la paupérisation, y compris désormais dans les pays  	développés. Bien que pacifique elle  exige un engagement  	fanatique. Cette contribution est donc aussi un appel. Pour initier  	un tel projet il faut donc en amont beaucoup d’argent. La  	également nous pensons que l’altruisme affiché par de nombreuses  	personnalités richichismes ( de Billes Gates à Warren Buffet pour  	n’en citer que deux), en passant par la générosité de certains  	milliardaires ( aux ETUN, au Mexique, en Chine, en Russie et dans  	différentes pays arabes) permettront de réunir les fonds  	préalables nécessaires pour lancer le projet. Taxer à nouveaux  	les riches pour lutter contre la pauvreté, les riches  	répliqueront : « on a déjà donné  et on remplit  	depuis des lustres ce tonneau des Danaïdes ». Les inviter à  	construire volontairement les fondations qui permettront la mise en  	place d’une loterie mondiale caritative, ils répondront : yes  	we can ( oui nous le pouvons). 
  
     Il y a  	quelque années, en marge de notre activité ethnosociologique sur  	le gambling et les jeux de hasard et d’argent (JHA) nous avions  	déjà lancé le projet d’une telle loterie. L’idée n’était  	pas « d’aider » ponctuellement les pays pauvres mais  	d’erradiquer le sous développement et l’ensemble des drames que  	connaît la planète de manière récurrente, en créant « un  	impôt volontaire au plutonium » qui produit plus d’argent  	qu’il n’en consomme et cela de manière pérenne. Cette  	proposition avait reçu un accueil médiatique non négligeable.(17)  	Plusieurs mois plus tard Christophe Blanchard Dignac ( PDG de la  	Française des jeux) reprenait le concept avec quelques autres  	loteries nationales. Nous avons trouvé le procèdé curieux. Certes  	nous n’avons pas le monopole du cœur mais nous pensons que le  	produit de la FDJ et de ses consoeurs n’a ni l’ambition, ni la  	finalité d’une loterie mondiale caritative. Par ailleurs un aussi  	beau projet « ne saurait rapporter de l’argent» à des  	opérateurs ludiques qui ont déjà suffisamment de jeux attractifs  	pour exploiter la « poule aux œufs d’or » ( par  	exemple Euromillions). Il doit  donc être chapeauté par un  	organisme transnational indépendant à but non lucratif. Malgré ou  	à cause de la crise, nous pensons que le débat actuel sur la taxe  	Tobin et celui – éternel – sur «  l’aide au  	développement » (18 ) doit être l’occasion de mettre sur  	les rails cette loterie mondiale philanthropique. 
  
     En final  	l’idée n’a rien de révolutionnaire. L’histoire des loteries  	indique que leur institutionnalisation comportait déjà une  	fonction caritative. Il s’agissait moins  de faire jouer les gens  	pour les exploiter, que de combler les caisses de l’Etat sans  	lever de nouveaux impôts, de lutter contre les calamités  	agricoles, de restaurer les églises, d’aider les indigents ou les  	grands blessés de guerre, de financer de grandes infrastructures...  	Notre initiative ne fait que reprendre ce concept en le globalisant  	et en le mondialisant. Selon Philippe Kourilsky ( Président de  	Facts initiative*) «  deux milliards d’être humains sur les  	sept que compte la planète vivent dans la misère » (19) Pour  	faire cesser « cet immense scandale », il faut une  	solution radicale et pérenne qui sorte des sentiers battus il faut  	un engagement que tout le monde peut s’approprier. Jean-Pierre  G. Martignoni-Hutin ( sociologue) Lyon (France)
 Contact :  jean-pierre.martignoni@univ-lyon2.fr ------- Dans  une prochaine contribution nous définirons : 
 
  
     les  	conditions ludiques qui permettront – outre le pactole à 1  	milliard – de rendre cette loterie très attractive ( taux de  	redistribution, lots en cash et en nature)
     dans  	quelle mesure les grands groupes internationaux et nationaux  	pourront y participer ( sponsoring, partenariat exclusif, lots en  	produits…). Car comme le précise Jean Claude Berthélemy ( Paris  	I Panthéon Sorbonne) «  on ne peut imaginer une stratégie  	efficace de lutte contre la pauvreté en l’absence d’une  	contribution des entreprises «  (20) 
     les  	manières de résoudre « l’éternel débat de l’aide au  	développement «(18) sans tomber dans l’assistanat et afin de ne  	pas construire une nouvelle usine à gaz. 
 Notes : 
  
     Respectivement  	monnaie américaine, chinoise, japonaise, indienne, russe,  	brésilienne, suédoise.  Le pactole à 1 milliard est bien entendu  	un chiffre symbolique destiné à frapper les esprits. Il devra le  	cas échéant être réévalué par un comité d’experts tout en  	étant très attractif. A titre d’indication le gambling a  	récolté en 2011  - simplement pour la France ! -  31,6  	milliards d’euros. Le record des gains a été atteint par l’Euro  	Millions :  162 millions d’euros. Une loterie mondiale  	caritative pourrait glaner plusieurs centaines de milliards et être  	dotée d’un big  	win à 1 milliard.
     « Tobin  	depuis 1972 » (France Info du 9 janvier 2012)
     Catherine  	Chatignoux : « Taxe Tobin : Sarkozy reçoit un  	soutien mesuré de la chancelière Merkel» ( Les Echos,10 janvier  	2012)
     Catherine  	Chatignoux, Renaud Honoré : «  Taxe sur les transactions  	financières : Paris veut un grand coup d’accélérateur»  	(Les Echos, 5 janvier 2012)
     Jean  	Marc Vittori : « L’utopie d’une taxe Tobin  	nationale »  ( Les Echos, 9 janvier 2012)
     Eduard  	Tétreau : « La taxopathologie aiguë des candidats à la  	présidentielle »  (Les Echos, 6 février 2012)
     « Taxe  	sur les transactions financières : Le risque de délocalisation  	reste difficile à mesurer » ( Les Echos du 5 janvier 2012)
     Confer  	l’infographie : «  les plus importants centres  	financiers mondiaux «  ( Les Echos du 5 janvier 2012)
     Marina  	Alcaraz, Laurent Boisseau , « Taxe sur les transactions  	financières : les conséquences pour la place de Paris »  	( Les Echos du 9 février 2012)
     Olivier  	Guéant, Matthieu Schlesinger : «  A ceux qui croient  	(encore) aux bienfaits de la taxe Tobin «  ( Les Echos du 10  	janvier 2012)
     Marina  	Alcaraz : «  Le trading à haute fréquence, une activité  	décriée dans le collimateur des autorités «  ( Les Echos, 7  	février 2012)
     Marina  	Alcaraz , Lucie Robequain, Laurence Boisseau : « Taxe  	sur les transactions : les dernières surprises «  ( Les  	Echos du 7 février 2012)
     Anne  	Cheyvialle : «  Paris officialise sa taxe financière a  	minima » ( Le Figaro du 7 février 2012)
     Anne  	Bauer : «  France, Allemagne, Espagne, Italie : le  	clan des pro-taxe s’élargit » (Les Echos, 9 février 2012)
     Anne  	Cheyvialle, ibid
     « La  	loterie nationale néerlandaise donne 1,35 millions d’euros au HCR  	«  ( www.unhcr.fr du 10 février 2012)
     “ Un  	sociologue propose une loterie mondiale contre la pauvreté ” :  	 message A.F.P. , 11 février 2005) Entretien téléphonique avec  	Michel Deprost, journaliste au Progrès, « Solidarité :  	une loterie mondiale contre la pauvreté », Le Progrès 12  	février 2005). “Une loterie mondiale pour lutter contre la  	pauvreté et le sous développement ” (« Une loterie  	mondiale contre la pauvreté ? “  Les dernières  	nouvelles Alsace 12 février 2005) Entretien avec Guillaume Cahour (  	directe RMC info matin 17 février 2005 ,7H)  Participation au  	journal du soir de TLM de Stéphanie Loeb ( TLM 17 février 2005, I9  	h) Entretien avec Olivier Madinier journaliste à ITV pour Canal + à  	propos de notre article : “  une loterie mondiale pour  	lutter contre la pauvreté et le sous développement”. Tribune  	dans le quotidien gratuit Métro à la demande de Xavier Thouvenot   	: “ Une loterie mondiale pour lutter contre la pauvreté : un  	jeu de hasard éthique “ (Métro n°  656, 21 février 2005)
     David  	Ménascé (affilié HEC) : « Donner ou faire payer,  	l’éternel débat de l’aide au développement »(Le Monde  	du 6 mars 2012,3)
     Philippe  	Kourilsky : «  Evaluer la lutte contre la pauvreté «   	( Le Monde économie du 6 mars 2012,1-2)
     Jean  	Claude Berthélemy : «Deux visions divergentes du rôle  	des grandes entreprises : social  	business ou bottom of the pyramid (BOP)?  	un peu des deux « ( Le Monde économie du 6 mars 2012, p.3)  ---- * :  La revue électronique Facts  ( Field actions science) a organisé le  6 Mars 2012 à l’occasion d’un numéro spécial ( «  Lutte  contre la pauvreté entre don et marché » )une conférence à  la Cité de l’architecture de  Paris, en partenariat avec Le Monde  Economie et Véolia Environnement. Confer ( Le Monde économie du 6  mars 2012, p : 1,2,3)
  © JP  Martignoni , Lyon, France,  Mars 2012, 204.doc
 
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