Depuis plusieurs mois, le Groupe Barrière est victime d’une campagne massive d’utilisation frauduleuse de ses marques, de l’image de ses établissements et de certains de ses salariés sur différents canaux en ligne.
A l’inverse d’autres acteurs du monde numérique, Meta n’a pas pris de mesures efficaces, alors que ses plateformes diffusent des publicités pour des offres de casinos en ligne - une activité illégale en France - qui usurpent les marques du Groupe Barrière.
Face à ces agissements frauduleux et au grave préjudice d’image subi, le Groupe Barrière a été contraint, dès le mois de novembre 2023, d’engager différentes actions judiciaires et administratives afin que les opérateurs de jeux illicites en ligne, les annonceurs, mais aussi Meta qui diffuse de telles publicités et s’enrichit par la même occasion, soient sanctionnés.
A ce jour, en France, ces publicités frauduleuses ont été vues plus de 80 millions de fois.
Le 11 janvier 2024, la justice française a ordonné à Meta de mettre en œuvre des mesures de filtrage de nature à prévenir les publicités illicites sur ses plateformes.
Meta a contesté cette décision et hier la justice a une nouvelle fois ordonné à Meta de mettre en place des mesures de filtrage.
"Nous nous félicitons de cette décision de justice qui rappelle que le monde numérique n’est pas une zone de non-droit et que la loi s’applique à tous. Le Groupe Barrière continuera à agir pour protéger ses clients, ses salariés, son image et plus globalement son intérêt social. Nous attendons désormais des pouvoirs publics français et européens des mesures fortes pour endiguer un fléau qui porte atteinte non seulement au Groupe Barrière, mais aussi à de plus en plus d'entreprises européennes. Nous sommes déterminés à engager toute nouvelle
initiative qui serait nécessaire pour défendre notre Groupe, faire valoir nos droits et mettre fin à cette forme d’impunité“ déclare Alexandre Barrière, co-président du Groupe.
Communiqué